Notre œuvre collective, telle que je l'ai reconstituée (a priori)! Merci à tous, et j'attends la version enregistrée par Lauryn!
- La mort du lapin est-elle un papillon ?
- Le diadème forme un festin d’escaliers.
- La jeune fille sous la pierre a-t-elle sa couronne de lierre ?
- Le murmure de la chance s’étend sur le fauteuil.
- La liane du lierre entoure-t-elle le lapin sauvage ?
- La longue nuit emplit le lac de mystères.
- Les baskets de tes cheveux ressemblent-elles à un jean troué ?
- Au matin, l’oiseau chantait l’écho du monde.
- Peut-on célébrer le masculin dans un festival sans y associer une orgie de bière ?
- L’oiseau est sorti de l’arbre !
- Le vent transporte-t-il des monstres mangeurs d’herbe ?
- L’espace d’un jeu elle devient spirale.
- Le corbeau en bois luit-il sous le soleil ?
- Dans le chaos, l’anachorète tisse de couronnes de plumes.
- A quelle gauche est drapé l’imprimé ?
- La prière est une joie sans lueur.
- Le riche couvert de diamants n’est-il que deuil ?
- La plage est une fée de pierre.
- Est-ce la fille du renard, ou celle du ruisseau ?
- La pauvre attraction assiste à son lever.
- A qui l’argent de lune offre-t-il le cadeau de la vache ?
- Cette odeur de tentation dans la brise du soir.
- L’étoile de magie ressemble-t-elle à un lotus ?
- Au matin, l’oiseau chante l’écho du monde
(il n’y avait qu’une phrase affirmative sur cette feuille !)- Les flammes qui éteignent les hommes doivent-elles systématiquement avoir la fureur de l’ego et la froideur du métal ?
- C’est le rouge murmure final.
- Les bulles dorment-elles seulement dans des lits rouges ?
- Le cœur de l’herbe pousse en ville.
- La lumière sauvage frappe-t-elle la pierre ?
- Le visage de ta fille est un arc-en-ciel.
- En quel motif s’est assise la vertu ?
- L’arbre resplendissant ne porte pas de chaussures.
- L’herbe de lune aime-t-elle l’encens ?
- Les étoiles sont autant d’yeux dans le ciel.
- Quelle eau se rêve lune ?
- Le iris chantent sous la lune.
- La silhouette du mur attire-t-elle le fantôme ?
- Le nénuphar fleurit sa plume sous l’arbre vivant.
- Les blessures s’enfuient-elles dans un sommeil ?
- En soufflant, le vent chasse le soleil et fait apparaître la lune.
- Sous le voile, la sexualité, le sacré qui lui est associé est-il libéré ou étriqué ?
- Cette violence, aussi belle et épineuse, aussi animale et bestiale, est aussi attirante qu’une ronce fleurie et porteuse de fruits gorgés d’eau.
- Quel est l’amour de l’animal-fougère ?
- Les abeilles collectent des troncs dans des grottes.
- Qui est cette femme qui amène le froid dans ces bars ?
- La cachette de la feuille intrigue.
- La limace rêve-t-elle qu’elle est une fleur blanche sur le lierre ?
- L’arbre est l’horloge du lit.
- Quelle petite fille sort de terre telle une ensorcelée ?
- Le feu dans la cheminée, pour l’aïeule, c’est son oreille.
- Dans quelle forêt vole le dinosaure ?
- Le chagrin dort sous les sombres mélèzes.
- La perle donnera-t-elle une vérité à la lyre ?
- La gueule du loup dans la forêt mange la feuille du pommier.
- Est-ce le vent, ou les feuilles, qui danse ?
- Les arbres ne sont étrangeté qu’à ceux qui ne savent pas voir leur beauté.
- Pourquoi ne pas choisir le rire sur la berge de la vie ?
- Sous la lune d’argent, la libellule bleue observe son image dessinée dans le murmure doux du miroir sacré d’ange noir.
- Le visage du mâle part-il en fumée ?
- Souvent, les lapins tombent du ciel.
- Pourquoi l’amour devient-il désespoir ?
- Les cheveux de la Terre forcent l’imaginaire.
- Dans les taches d’obsidienne de tes os blanchis, vois-tu ton âme sœur ?
- Le tissage du temps gît épars.